Près des deux tiers des résidus de pesticides détectés dans l’alimentation européenne sont le fait de molécules suspectées d’être des perturbateurs endocriniens. C’est le principal enseignement d’une enquête, qui vient d'être rendue publique par l'ONG Générations futures.
Cette étude a été menée sur la base du programme de surveillance européen coordonné par l’Autorité européenne de sécurité des aliments (EFSA), dont les résultats ont été publiés cet été.
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