Il est bien connu que le travail dans des conditions d'hyperthermie peut nuire à la santé, mais selon cet article paru dans les Scientific Reports de la revue Nature, l'exposition prolongée de la tête à un fort ensoleillement ou à une température élevée altère considérablement certaines fonctions cognitives, et notamment la coordination des tâches motrices complexes.
L'étude a montré que que la baisse des performances motrices et cognitives est observée à partir de 38,5°C et que la lumière directe du soleil sur la tête peut aussi affecter la productivité.
Les auteurs concluent que le stress thermique environnemental devra être mieux pris en compte dans les politiques de Santé publique et les directives en Santé au travail, avec la nécessité d’une protection spécifique de la tête afin d'en minimiser les effets nocifs.
Source (en anglais)