Selon cette étude parue dans la revue Advances in Nutrition, la réponse est "Oui" sans aucune ambiguïté et l'étude confirme ainsi l’ensemble des risques associés à une horloge interne décalée, en particulier l'augmentation du risque de pathologies cardiovasculaires et de diabète de type 2.
Les auteurs expliquent que les "noctambules" (les couche-tard et les travailleurs de nuit/postés) s’alimentent de manière moins régulière et privilégient la malbouffe grasse et sucrée.
Qui plus est, les travailleurs de nuit et les travailleurs postés, qui doivent en permanence ajuster leur horloge biologique en fonction de leurs heures de travail, présentent une diminution de la sensibilité à l'insuline qui les expose à une augmentation du risque de diabète de type 2.
Source (en anglais)