Nombreuses sont les études qui montrent que les individus malheureux au travail deviennent agressifs, apeurés ou apathiques, ce qui diminue d’autant leurs capacités cognitives et leurs compétences. La majorité des entreprises qui se préoccupent du bonheur au travail de leurs salariés ont de meilleures performances.
Pour s’inscrire dans cette démarche, l’entreprise doit écouter ses collaborateurs (baromètres et enquêtes), impulser une dynamique (évènements marquants), ancrer la transformation (en faisant émerger des "passeurs" désireux d’agir dans ce domaine).
Source : Entreprise et Carrières, n°1409