Normalement banni des tickets de caisse et des contenants alimentaires depuis le 1er janvier 2015, cette étude parue dans la revue Environmental Research montre qu'en France plus de 50 % d'entre eux contiennent toujours et encore du bisphénol A (BPA).
Les auteurs recommandent donc d’éviter le contact des tickets avec les aliments, de ne pas les froisser machinalement pour les jeter à la poubelle ou de s’en servir pour écrire des pense-bêtes.
Pour mémoire le bisphénol A fait partie (tout comme le bisphénol S qui le remplace en France) de la famille des perturbateurs endocriniens connus pour être responsables de troubles de la reproduction, d’obésité, de diabète, de dysfonctionnements thyroïdiens et de malformations génito-urinaires.
Source (en anglais)