Selon cet article paru dans Proceedings of the National Academy of Sciences of the U.S.A, l'expression de gènes régulant d'importants processus physiologiques et comportementaux ne s'adapte pas aux modifications de l'horaire du sommeil et des repas, et, dans la plupart des cas, elle continue d'obéir à une horloge biologique dont les rythmes restent calés sur le jour.
Les auteurs concluent que les changements moléculaires observés pourraient contribuer à l'apparition de pathologies telles que le diabète, l'obésité et les maladies cardiovasculaires, qui sont plus fréquentes chez les travailleurs de nuit.
Source (en français)